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Un pic-nic musical avec lectures de textes et projection des portrits de 187 communards a marqué samedi 28 mai la clôture de l'ensemble des manifestations qui ont eu lieu à Libourne pendant ces 72 jours, au cours desquels nous avons essayé de raviver collectivement le souvenir des Communeux. Merci à tous --------- Le 21 mai, Jean-Luc Richelle nous a rappelé les différentes approches abordées au cours de toutes les sessions de l'université populaire... Cette dernière intervention interroge le sens que peut prendre la Commune aujourd'hui en proposant une synthèse, non exhaustive, des questions ouvertes lors des précédentes séances. La conférence au sujet de l'Education Populaire a ouvert beaucoup de questionnements qui se formaliseront par une future table ronde que Jean-Marc Ziegelmeyer animera et dont la date sera communiquée ultérieurement. Les textes produits à l'atelier d'écriture du 7 mai seront lus par des récitants lors du concert de Jass it up et édités dans le dernier numéro du Cri du peuple Grands moments partagés au verdet le 29 avril avec le Concert du groupe OPA suivi de la conférence de Jean-Philippe Crabé : les anarchistes et la Commune, ainsi que la présence de la librairie du muguet et pour le Réveillon du premier mai avec les concerts de Christian Leduc - les Amis de l'Ormée - l'echo ral'bol - la Collectore - On Air - Le 22 avril Jean-Claude Gillet nous a présenté : les idées de Marx à l'épreuve de la Commune Le 15 avril, beaucoup de fédérés sont venus inaugurer l'exposition et assister à la conférence de Cesar Huerta Le 8 avril, déambulation, chants, poèmes, musique, nous avons fini le parcours en inaugurant la plaque de la rue du "communard inconnu". Le 1° avril, 65 personnes étaient au rendez-vous au Verdet pour assister à l'intervention de Michel Davain : les Francs Maçons sous la Commune. La barricade éphémère a eu sa petite heure de gloire avec l'Echo Ral' Bol et l'orgue d'EmiAl et l'ouverture de l'Université Populaire a eu lieu samedi 19 avec l'intervention d'Alain Porte, suivie à 18h par celle de François Gaudin. _____ |
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